20 mars 2016
Bouteille à la mer
Je comprends Duras qui buvait avant d’écrire.
Je comprends Deleuze qui buvait en écrivant.
Ce doute, ce trou, ces spasmes
Le vertige que ressent l’alpiniste avant d’affronter la paroie
Et l’artiste avant le travail, craignant de se trouver face
A son ignoble vacuité.
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