15 février 2017
Deux heures, deux vies
Il s’endort et se réveille, part et revient. Comme la mer, comme les vagues qui s’échouent sur la grève. Malgré lui, malgré moi. J’ai trop rêvé cette nuit. En condensé, comme une boite de sardines pilée. Il part et revient, je l’enterre, il réapparaît, il meurt et ressuscite.
Deux vies, deux heures, le jour et la nuit, le calme et la tempête.
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