Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01 février 2018

Quel dommage

Quel dommage de pleurer quand il fait si beau, maintenant que le soleil enterre les grisailles passées. Quel dommage de pleurer quand la lumière brûle. Pour une fois. Pour une fois que l'astre a percé. 

Quel dommage de sentir les larmes. Dehors, il fait si beau, il fait si jaune, si doux, si frais. Quel dommage de ne pas retenir ces petites gouttes salées qui chavirent et chavirent sur mon visage. Quel dommage de ne pouvoir les contenir comme on endigue l'émotion qui nous submerge comme une dune inondée.

 

 

Les commentaires sont fermés.