26 janvier 2015
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20:57 | Commentaires (0)
25 janvier 2015
J'essaie
Je n'ai plus d'ongles mon aimé plus de doigts au fond des pieds
J'essaie I Je vais dans des îles et m'exerce à re-convoquer
ces instants de grâce I Te retrouver
18:50 | Commentaires (0)
23 janvier 2015
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21:42 | Commentaires (0)
20 janvier 2015
Passagère
Toujours ses pieds glissent
comme des patins
sur l'asphalte des hommes de terrain
dérapant à chaque rencontre
à chaque regard
sans prise à l'air
et le temps passe
Et file l'étoile file l'étoile file
22:39 | Commentaires (0)
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J'aimerais toujours que le vent se déporte
en courant d'air
en
en >>>>>>>
en lasso polygonal
en brève du temps.
Que faire? Je vous le dis sous doute: Que faire. Les mots sont odorants, mal opportuns. Que faire la plupart du temps?
00:29 | Commentaires (0)
S'appartenir pleinement
Ils ont décidé de s'emparer d'eux même en agissant jusque sur leur nom. Les sons sont les mêmes mais les lettres ont changées. Pourquoi ont-ils renié ces lettres? Pourquoi ont-ils renié leur nom? La famille fait-elle si mal, est-elle si lourde à trainer? Modifier l'orthographe pour s'épeler autrement. Rejeter l'idée que d'autres nous ont faits pour se donner le droit de s'appartenir pleinement.
00:23 | Commentaires (0)
12 janvier 2015
norðurljósin
Et je me suis tue et vous vous êtes approché, il faisait noir bien sûr qu'il faisait noir. Les étincelles dans les yeux vous m'avez demandé si je connaissais le lieu - odeur agréable. J'avais envie d'un son, d'une voix - j'aime la voix - j'aime votre voix hasardeuse qui prend soudain possession du paysage pour dire
Française?
Et le paysage s'éteignait au fur et à mesure de ses paroles que je captais en l'air comme des étincelles ruissellent du feu. Il faisait chaud dans le froid
Oui, française, oui, un peu - On se parle? Vous/ Tu me parles? Restez.
Devant le parlement, l'église et le blanc, tout ce tout blanc qui s'échappait du noir, Homme, Parlez-moi.
Tu as compris, tu as parlé, haussant la voix sans le regard, il faisait noir. Je t'ai suivi
et l'aurore a surgi. Devenue Boréale.
02:14 | Commentaires (0)
09 janvier 2015
pierre blanc nuit
Les étendues défilent devant mon corps paysage mais je ne dis rien, je ne fais feu, tout va. Au vol même les artères éclatent, même les requins s'en moquent, tout va, tout viens, je ne fais feu. Do you copy over, je ne ne ferai feu. Ici, le pays, ce paysage m'invite au silence des condoléances. Mais je ne dis mot, et pour consentir, je consens.
J'aimerai étendre mon corps sur un fil à linge et le regarder s'égoutter du superflu des années comme le cochon à la broche qui se vide de sa graisse en premier. Le paysage passe et je reste en lui, je veux rester, capter son reflet, retenir ses formes, me fondre et m'y fondre pour ne plus qu'il me quitte et ne plus le quitter. Paysage blanc sur blanc sur blanc qui sait, qui a vu, témoin des énigmes du temps et du mouvement des cieux, respire en silence de ses pierres de lave en froid glacé, je te copy. je te copierai.
over
game over
23:27 | Commentaires (0)
05 janvier 2015
M'enfonce et me soulève
Je ne sais écrire qu'en hauteur,
un phare ou un treizième étage.
Quand la lumière et moi sommes
seules, pleines et lasses. Il doit
faire chaud. Chaud puis froid, sans
courants d'air. Je dois pouvoir ne pas
voir la mer mais absolument sentir
qu'elle est là. Alors, seulement alors,
je tire le rideau, m'enfonce et me
soulève.
16:46 | Commentaires (0)
Ice cream store
May I have a rhum-raisin ice cream please?
- Excuse me ?
Ah, euh.... May I have a Wom-Waisin ice cream ?
- Sure! In a cup or in a cornet ?
...
16:31 | Commentaires (0)